« C’est en vain que Napoléon Grisé par ses derniers succès Pensait qu’à ses pieds prosternée Moscou allait lui apporter Les clés de l’antique Kremlin. Non. Moscou ne s’est pas soumise. Le héros pressé d’en finir Attendait un présent superbe. Un incendie fut la réponse. »
« […] une domination russe-barbare sur toute l’Europe […] serait moins dommageable pour le destin de l’Europe qu’une continuation de la domination américano-juive, car le barbare, par sa seule présence, dissoudrait l’ennemi intérieur de l’Europe […] et unirait l’Europe spirituellement. »
— Francis Parker Yockey, L’Ennemi de l’Europe (1953)
« L’âme Russe est trop virile pour pouvoir être étranglée par quelque chose d’étranger. C’est pourquoi l’entité juive, en dépit de la position dominante qu’elle avait atteinte avec la Révolution de 1917, fut incapable de maintenir son règne inconditionnel. L’expulsion de Trotski en 1928 marque le début du déclin de la juiverie en Russie. »
— Francis Parker Yockey, L’Ennemi de l’Europe (1953)
« La mission de la Russie était de garder et de protéger le christianisme véritable : l’orthodoxie. […] Les tsars de Moscou se considéraient comme les héritiers des empereurs de Byzance, ils faisaient remonter leur filiation royale à César-Auguste. »
« Oh ! Que vienne ma liberté ! Il en est temps. Je la supplie. Sur le rivage je l’attends. Je fais signe aux voiles qui passent. Quand donc pourrai-je partir, libre Sur la libre route des mers, Luttant contre le flot rebelle ? Il est temps que, loin du rivage, (De cet élément ennemi), Sur la houle des mers du Sud, Sous le soleil de mon Afrique, J’aille regretter la Russie, Où j’ai souffert, où j’ai aimé, Où j’ai mis mon cœur au tombeau. »
« La séparation des églises nous coupa de l’Europe. Nous n’eûmes part à aucun des grands événements qui la bouleversèrent par la suite. Mais nous possédions notre vocation singulière. La Russie et ses immenses espaces absorba l’invasion tartaro-mongole. Les Tartares n’osèrent pas poursuivre au-delà de nos frontières occidentales. Ils se retirèrent dans leurs déserts, la civilisation chrétienne fut sauvée. Mais pour remplir cette mission, nous devions mener une existence spécifique qui, tout en nous préservant en tant que chrétiens, fit de nous des étrangers au monde de la chrétienté. Pour ce qui est de notre insignifiance historique, je ne saurais être d’accord avec vous. Vraiment, vous ne voyez rien de considérable dans la situation actuelle de la Russie, susceptible de frapper l’historien de demain ? Bien qu’attaché de cœur au souverain, je suis loin d’être enthousiasmé par tout ce que je vois autour de moi. En tant que littérateur, je m’irrite, je suis offensé, mais, parole d’honneur, pour rien au monde je ne voudrais changer de patrie ou avoir une autre histoire que celle de nos ancêtres, telle que le seigneur nous l’a donnée. »
— Alexandre Pouchkine, Lettre à Piotr Tchaadaïev, 19 octobre 1836
« Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. »
« Le socialisme n’est ni une utopie ni un rêve, le socialisme est une menace et un avertissement réels pour les peuples chrétiens, c’est un sévère rappel qui leur est fait de ce qu’ils n’ont pas exécuté les préceptes du Christ, de ce qu’ils se sont détournés du christianisme. »